Aller au contenu principal

Formulaire de recherche

Intelligence artificielle en milieu universitaire

L'utilisation des SIAG à Polytechnique Montréal

• Voir la page Utilisation des systèmes d’intelligence artificielle à Polytechnique dans les activités académiques.

• La Direction des affaires académique et de l’expérience étudiante (DAAEE) a émis un avis concernant les directives pour l’utilisation des SIAG.

Si vous êtes étudiant, demandez toujours à vos enseignants et enseignantes : 

• Les outils d'IA sont-ils autorisés ?
• Dans quelles conditions ?
• Comment mentionner votre utilisation de l'IA générative ?

Au-delà de l'université

• La Déclaration de Montréal pour un développement responsable de l'intelligence artificielle (2018)

Recommandation sur l'éthique de l'intelligence artificielle (UNESCO, 2021)
• Orientations pour l’intelligence artificielle générative dans l’éducation et la recherche (UNESCO, 2024) 

L’éthique au cœur de l’IA (Obvia, 2023) : « Issu d’un travail collaboratif regroupant des spécialistes de l’éthique, de la philosophie, de l’informatique et de l’économie, le présent document vise à préciser et clarifier le rôle que doit occuper l’éthique à l’ère de l’intelligence artificielle (IA). »

• 23 principes d'Asilomar (2017) : "l'un des premiers ensembles de principes de gouvernance de l'IA et l'un des plus influents".

Points de vue des grands éditeurs sur les outils d'IA

Généralement, les éditeurs n'acceptent pas les grands modèles de langage (= large language models, LLM) comme auteurs d'un article de recherche. De plus, ils mentionnent dans leurs politiques les façons acceptées de les utiliser et demandent que l'utilisation des outils d'IA soit divulguée.

Springer Nature

« Les grands modèles de langage (LLM), tels que ChatGPT, ne sont pas conformes à nos critères pour les auteurs. Notamment, cela implique la responsabilité du travail, ce qui ne s'applique pas aux LLM. L'utilisation d'un LLM doit être correctement documentée dans la section Méthodes (et si une section Méthodes n'est pas disponible, dans une autre section appropriée) du manuscrit. L'utilisation d'un LLM (ou d'un autre outil d'IA) à des fins de « révision assistée par l'IA » ne doit pas être déclarée [...] Ces améliorations assistées par l'IA peuvent inclure des changements de formulation et de formatage des textes, mais n'incluent pas le travail éditorial génératif et la création autonome de contenu. Dans tous les cas, il doit y avoir une responsabilité humaine pour la version finale du texte et l'accord des auteurs que les modifications reflètent leur travail original. » (Traduit à partir de Source)

IEEE

« L'utilisation de contenu généré par l'intelligence artificielle (IA) dans un article (y compris, mais sans s'y limiter, le texte, les figures, les images et le code) doit être divulguée dans la section des remerciements de tout article soumis à une publication d'IEEE. L'outil d'IA utilisé doit être identifié, et les sections spécifiques de l'article qui utilisent du contenu généré par l'IA doivent être identifiées et accompagnées d'une brève explication concernant le niveau auquel l'outil d'IA a été utilisé pour générer le contenu. L'utilisation des outils d'IA pour l'édition et l'amélioration de la grammaire est une pratique courante et, en tant que telle, n'entre généralement pas dans le cadre de la politique susmentionnée. Dans ce cas, il est recommandé de divulguer l'information comme indiqué ci-dessus. » (Traduit à partir de Source)

Elsevier

« Lorsque les auteurs utilisent l'IA générative et les technologies assistées par l'IA dans le processus de rédaction, ces technologies ne doivent être utilisées que pour améliorer la lisibilité et la langue de l'œuvre. [...] Les auteurs sont responsables en dernier ressort du contenu de l'ouvrage. » (Traduit à partir de Source)

arXiv

« En signant leur nom en tant qu'auteur d'un article, les auteurs assument individuellement l'entière responsabilité de l'ensemble de son contenu, quelle que soit la manière dont celui-ci a été généré. Si des outils d'IA générative génèrent du langage inapproprié, du contenu plagié ou biaisé, des erreurs, des références incorrectes ou du contenu trompeur, et que ce résultat est inclus dans des travaux scientifiques, la responsabilité est assumée par les auteurs. » (Traduit à partir de Source)

● Autres éditeurs : Wiley, PLOS ONE.

Suivez la Bibliothèque sur... Facebook Instagram YouTube LinkedIn
Posez une question